Le signe de détresse maçonnique

Ce sujet a été évoqué durant la partie de dimanche dernier à Clohars (retraite de BIÉLOrussie. Oui c'est un truc pour éviter de froisser certaines susceptibilités semble-t-il.)

Nicolas et moi n'étions pas d'accord sur la façon dont ce geste, apparemment très pratiqué lors des guerres du 18ème et 19ème siècles, s'effectuait.

Voici donc plusieurs sources qui semblent corroborer ma version :

Tout d'abord la représentation basique du signe (le collier et le tablier sont en option) :


(A noter que cette illustration est tirée d'un "Manuel antimaçonnique" publié en 1902 par la "Librairie antisémite" ; on savait rire à l'époque).


L'incroyable aventure, durant la guerre d'indépendance américaine, du capitaine Mc Kinsty, qui a eu la chance de tomber sur un chef amérindien qui avait vécu en Angleterre et avait à cette occasion été initié dans la F.·.M.·. (aussi époustouflant que "L'homme qui voulut être roi" de Kipling).



Durant les guerres napoléoniennes, plusieurs épisodes de ce genre ont été rapportés.


Et donc, si on peut, il faut s'exclamer "A moi les Enfants de la Veuve !" (phrase aux multiples interprétations).


Voilà, ça pourrait même donner des idées pour des scénarios... pourquoi pas ?