[Argad] Mais où qu'c'est-y donc, Fort Wilderness ? (2)

Une seconde partie avec un scénario similaire à celui décrit là (en relire le début pour le contexte)
https://www.anargader.net/t3672-argad-mais-ou-qu-c-est-y-donc-fort-wilderness-1
mais adapté pour un seul joueur (et moins de figurines disponibles) encore à la semaine l'Été d'Enfer.

Le joueur manie donc à la fois les renforts anglais et les Virginiens qui reviennent du fort... mais tant que sa troupe de renfort n'a pas contacté les Virginiens on ne lui dit pas où est le fort.

Début de partie, les Provinciaux de Virginie quittent le fort précipitamment.



Des Français sont sur l'autre rive, et peu après pénètrent dans le fort.





Cette fois-ci les renforts britanniques entrent par le Nord, par l'autre côté de l'autre rivière.



Les Virginiens aperçoivent quelques personnes qui se cachent dans des buissons. Ce sont deux civils et un vétéran, anglo-américains.



Puis les Virginiens traversent la rivière afin se joindre au gros de la troupe anglaise... et retraversent donc la même rivière sur un pont de planches avec les autres Britanniques.



Approchant d'une maison en ruines, leur guide, qui avait insisté pour les faire passer par une grande forêt ouverte, s'enfuit et ils se font tirer dessus par des soldats français abrités dans cette forêt.





Au bout d'un moment, les Français se replient et les Anglais avancent à leur poursuite.

Les Virginiens fraternellement mêlés aux Anglais pour former une double ligne serrée.



L'infanterie légère écossaise et les Roger's Rangers éclairent l'avance et les côtés pour éviter de nouvelles surprises.



Approchant du fort, des Britanniques se mouillent les pieds pour profiter de la protection de la haute berge ...avant de se rendre compte qu'il y a des Hurons dans leur dos !



Démunis d'équipement, les Britanniques se font la courte échelle pour passer les palissades de faible hauteur. Les combats sont acharnés dans tous les coins du fort.



Cinq Hurons et un coureur des bois traversent la rivière en canoë pour tenter d'aider les assiégés...



...mais les Français sont maintenant en nette infériorité.



Recevant eux aussi quelques pertes, les Hurons vont renoncer.



Les derniers Français capitulent.