1) En transposant la règle médiévale pour l'époque XVIIe-XVIIIe j'ai indiqué que les baïonnettes peuvent frapper sur deux rangs (comme les lances et juzarmes) mais ça peut être une ânerie, je n'en trouve pas de mention claire.
Dans ce cas la lance ou la voulge sont maniées par-dessus l'épaule du premier rang (certaines figurines Haut Moyen Âge avec la main droite levée sont en fait des lanciers de deuxième rang et pas des javeliniers) ...mais on ne peut guère faire ça avec un fusil : dans les documents d'époque le deuxième rang semble plutôt garder la baïonnette haute pour remplacer le copain devant lui s'il meurt.
2) On arrive sur des époques où l'intérêt de l'ordre serré c'est aussi la poussée en masse. Bon, ça a toujours été vrai, mais à l'époque où ça se faisait surtout en "mur de boucliers" le malus de protection –1 du "mur" suffisait à rendre heureux ; là ça ne suffit plus.
Une solution serait de dire que le gars en ordre serré qui a d'autres rangs serrés derrière lui ignore le "recul" en mêlée (à moins d'être poussé par davantage de rangs ennemis).
3) Et aussi, pour équilibrer, de mettre fin à une certaine frustration face aux armes longues, en disant que si quelqu'un obtient un résultat de "faire reculer" un ennemi qui a une arme plus longue que la sienne, celui-ci ne frappe pas "avant" au tour suivant car il n'a pas la place, ils sont au corps-à-corps serré (je pense aux Iroquois ou aux Highlanders face à une ligne de baïonnettes, s'il survivent au premier contact ils peuvent choper le mec de près...)
Dans ce cas la lance ou la voulge sont maniées par-dessus l'épaule du premier rang (certaines figurines Haut Moyen Âge avec la main droite levée sont en fait des lanciers de deuxième rang et pas des javeliniers) ...mais on ne peut guère faire ça avec un fusil : dans les documents d'époque le deuxième rang semble plutôt garder la baïonnette haute pour remplacer le copain devant lui s'il meurt.
2) On arrive sur des époques où l'intérêt de l'ordre serré c'est aussi la poussée en masse. Bon, ça a toujours été vrai, mais à l'époque où ça se faisait surtout en "mur de boucliers" le malus de protection –1 du "mur" suffisait à rendre heureux ; là ça ne suffit plus.
Une solution serait de dire que le gars en ordre serré qui a d'autres rangs serrés derrière lui ignore le "recul" en mêlée (à moins d'être poussé par davantage de rangs ennemis).
3) Et aussi, pour équilibrer, de mettre fin à une certaine frustration face aux armes longues, en disant que si quelqu'un obtient un résultat de "faire reculer" un ennemi qui a une arme plus longue que la sienne, celui-ci ne frappe pas "avant" au tour suivant car il n'a pas la place, ils sont au corps-à-corps serré (je pense aux Iroquois ou aux Highlanders face à une ligne de baïonnettes, s'il survivent au premier contact ils peuvent choper le mec de près...)