Excellent ! Merci pour cette partie.
En complément, voici quelques autres photos :
L'arrivée des méchants et une profonde vue de la table, avec les deux monastères, et à droite la lisière du village
On aperçoit, entre l'armée Nobunaga et le premier monastère, les porteurs d'une relique sacrée. Un moment plus tard, ceux-ci sont accueillis dans le monastère, on les voit ici prêts à entrer dans le bâtiment de gauche.
Après des échange de tirs qui ont assez vite raison des quelques défenseurs sur le rempart, les assaillants tentent de rentrer. Cela devient alors beaucoup plus difficile pour eux pendant un moment
Après avoir mis le feu à une des portes, des assaillants sont parvenus à entrer, au grand affolement des villageois. Mais contrairement à ce qu'on craignait, ce groupe d'assaillants se trouve englué par le courage des moines et des paysans. On voit ici le moment (à gauche tout près du mur) ou un paysan (vêtu de noir avec un chapeau de paille) muni d'un outil semi-long affronte un samouraï à cheval.
Le paysan rate son coup
(piéton contre cavalier -1, villageois et/ou outil -1, contre un samouraï classe 5 armure 5 il faut faire 8, ce qui peut être tenté à plusieurs mais est désespéré tout seul) mais échappe au coup porté par le samouraï
(+1 de cavalier contre piéton et +1 de charge de cavalerie, contre un classe 2 ...mais un 1 naturel est toujours raté, le cheval a dû glisser...)Au tour suivant, le paysan réussit à vaincre le samouraï !
(6, relancé encore 6 = 7, relancé encore 6 = 8, et de toutes manières un triple maximum naturel du dé est toujours touché).Les tireurs Nobunaga ont détruit l'autre porte à coups d'arquebuses lourdes (redoutables, ces machins) et se répandent à l'intérieur, les moines tentent un instant de s'abriter de leurs tirs ...avant de foncer dans le tas.
Effrayé, un villageois se réfugie sur un toit. On ne sait ce qu'il est devenu quand les ennemis ont incendié la maison.
Une longue colonne de civils, venant du second monastère, tente de quitter les lieux. Quelques moines encore survivants leur ouvrent le passage.
(Les nombreux personnages de civils sont placés sur des socles multiples pour les déplacer plus vite. On constate alors que l'exercice de placer les socles ronds dans les trous ronds et les socles carrés dans les trous carrés est plus complexe que de comprendre la règle Argad).Pour protéger la colonne de civils, quelques moines et anciens brigands mettent en fuite un groupe d'ennemis.
Près du monastère, un moine combat un long moment à un contre plusieurs, éliminant d'abord un samouraï adverse, puis à chaque mêlée un des tireurs qui viennent sur lui à trois contre un. Fatigué, le général ennemi ordonne finalement de le laisser partir.