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Ça valait bien la Peene !

2 participants

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1Ça valait bien la Peene ! Empty Ça valait bien la Peene ! Mer 26 Fév 2014 - 22:00

Eric de Gleievec

Eric de Gleievec

Ainsi donc, voici le compte-rendu de cette première partie "guerre de 30 ans", dont nous avions commencé à parler ICI.

Rappel des faits et évènements :

Nous sommes à l'automne 1630 ; les Suédois viennent de débarquer en Poméranie pour prêter main forte au parti protestant allemand, et combattre les Habsbourg (Impériaux) soutenus par l'Espagne et la Ligue catholique. Pour le moment ils tissent avec peine leur réseau d'alliance, et restent cantonnés sur les rives de la Baltique, à se regarder en chiens de faïence avec les Impériaux qui tiennent le Mecklenburg.

Le pasteur de la ville de Demmin vient de s'échapper de cette ville, tenue par les catholiques, et a réussi à rejoindre le camp suédois, pour y porter cette nouvelle : dans quelques jours, le gouverneur catholique de la place va s'en aller à la ville de Malchin, à deux jours de marche de là, pour assister au mariage de la fille d'un de ses camarades ; il ne laissera à Demmin qu'une petite garnison. Prendre Demmin pourrait être un succès tactique primordial pour la Suède, car cette ville est un point de passage important vers le Mecklenburg, et permet de passer la rivière Peene en sécurité en contrôlant les ponts.

Il a été décidé que la femme du pasteur accrocherait un linge bleu au clocher de l'église du faubourg (restée luthérienne) dès lors que la voie serait libre. Les Suédois envoient donc une armée qui cantonnera à une journée de marche de Demmin (pas plus près, pour ne pas donner l'alerte), et une petite troupe légère (composée de cavaliers suédois, de dragons finnois, et de mercenaires écossais) qui devra neutraliser la garnison, prendre position en ville et la sécuriser ; si possible « recruter » la milice locale, luthérienne, et tranquilliser les habitants. Ensuite, envoyer un messager prévenir le gros de l'armée dès que la ville sera prise.
Si jamais la mission venait à échouer, la troupe devrait rejoindre le camp suédois en emmenant tout ce qui pourra être pris comme armes et poudre, et en détruisant tout le reste. Ha oui, et il faut rapatrier la femme du pasteur, qui est en situation dangereuse.

Voici le texte introductif qui avait été transmis aux joueurs :
"Automne, bientôt le temps pour les armées de prendre leurs quartiers d'hiver.
Le bourg de Demmin, dans une boucle de la rivière Peene, est tenu par les Impériaux. C'est le dernier passage sur la rivière avant le no man's land qui sépare du camp suédois.
Les Impériaux ont érigé un fortin en levées de terre, dans les faubourgs, pour garder les accès à la ville (les ponts).

Le commandant de garnison de la ville, le capitaine Kapfelmann, est parti à la noce de la fille du Colonel von Schallenberg, à Malchin. Il est parti en s'accompagnant d'une solide escorte, car même si les hostilités avec les Suédois n'ont pas encore éclaté, les routes sont loin d'être sûres !"

La table de jeu correspondait en gros au rectangle rouge sur la carte ci-dessous ; les flèches en bleu correspondent au point d'entrée des Suédois, côté nord. La tache orange représente le fort en levées de terre érigé par les Impériaux. Près du petit affluent de rivière, le faubourg avec auberge, maison du tisserand, grenier à laine, et maison du prêteur sur gages.

Ça valait bien la Peene ! Partie12

A noter, dans le prolongement de la chapelle, la présence de deux fermes non représentées sur la carte (sans doute cachées par les bois  Smile  ) mais que vous verrez sur la table de jeu.

Les participants ;
MJ : Eric.
Joueurs : Patrice, Malo, Ehouarn.

Le décor est planté, à présent je laisse la parole aux joueurs, qui doivent être impatients de vous conter leurs exploits ! (Et surtout ils doivent avoir de belles photos, alors que je n'en ai aucune).
J'interviendrai de temps à autres pour apporter des précisions, signaler des détails qui pourraient être oubliés, ou encore retablir la vérité au cas où celle-ci serait déformée par l'enthousiasme de certains ; mais je sais que cela ne risque pas d'arriver  ; n'est ce pas ?  Rolling Eyes



Dernière édition par Eric de Gleievec le Jeu 27 Fév 2014 - 1:06, édité 3 fois


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2Ça valait bien la Peene ! Empty Re: Ça valait bien la Peene ! Mer 26 Fév 2014 - 22:06

Patrice

Patrice
Admin

Voici donc un compte-rendu de la partie jouée le dimanche 23 février au festival de jeux « Terminus Ludi » à Rennes ! (le samedi 22, nous avions fait de la démo / initiation époque pirates / Louis XIV, époque 1700).

Or donc, comme nous ne savions point quoi faire ce dimanche-là, la Divine Providence inspira deux semaines auparavant notre bon compère Eric de préparer un excellent scénario sur une de ses périodes préférées la guerre de Trente Ans. Nous voici donc en Allemagne vers 1630 (en France c'était Louis XIII) …et là, il faut bien le dire, les autres participants à cette partie n'y connaissions tous que t'chi.

Sur la table de jeu, au premier plan quelques fermes et une chapelle luthérienne, puis le fort ; on aperçoit à l'autre bout un faubourg de la ville. La ville elle-même est hors table, sur la rive droite de la rivière. Les Impériaux doivent garder le fort et les ponts ; mais le gouverneur étant parti avec le gros des forces, il n'y a sur place qu'un jeune lieutenant, Johann Flammekueche, et une trentaine d'hommes.

Ça valait bien la Peene ! Taol17e

Le fort. Une partie de la faible garnison s'exerce dans la cour...

Ça valait bien la Peene ! Fort

Ça valait bien la Peene ! Drill

…tandis que d'autres soldats se prélassent dans le faubourg ou dans la campagne :

Ça valait bien la Peene ! Faubourg1

Ça valait bien la Peene ! Faubourg3

Ça valait bien la Peene ! Fermes

Soudain, l'alarme sonne !  Sortant d'une forêt à bonne distance des faubourgs, un groupe de mercenaires écossais commandés par un nommé Angus mac Laren, accompagnés de quelques cavaliers suédois :

Ça valait bien la Peene ! Mclaren1

Les cavaliers suédois se précipitent dans le faubourg où la milice tente de se rassembler ; un soldat impérial tire le premier coup de mousquet, sans succès…

Ça valait bien la Peene ! Faubourg4

Les miliciens tirent leurs arquebuses contre les Suédois… puis, peu soucieux de se faire tuer pour le Saint-Empire, ils se rallient à leurs coreligionnaires luthériens !

Ça valait bien la Peene ! Faubourg5

…qui n'ont alors guère de mal à capturer ou à mettre en fuite quelques soldats catholiques isolés.

Ça valait bien la Peene ! Faubourg6


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3Ça valait bien la Peene ! Empty Re: Ça valait bien la Peene ! Mer 26 Fév 2014 - 22:08

Patrice

Patrice
Admin

A l'autre bout de la table, un autre groupe ennemi est apparu à pied. Ce sont des dragons démontés finnois (= finlandais, donc à l'époque, suédois) commandés par un nommé Alvar Marimekko (qui lui, est à cheval …mais, sans doute plus habitué aux rennes de son pays natal, est resté monté dans la forêt, et perd un temps fou bloqué sous les arbres tandis que sa troupe monte à l'attaque sans lui !)

Les Finnois se dirigent vers les fermes, dont les villageois tentent de fuir :

Ça valait bien la Peene ! Fermes1

Ça valait bien la Peene ! Fermes2

Les piquiers impériaux sortent du fort :

Ça valait bien la Peene ! Piquiers

Des Ecossais ont traversé un affluent de la rivière pour intercepter un groupe de moines suspects. Il s'avère que ceux-ci sont des envoyés de Richelieu (favorable aux Suédois malgré la différence de religion), ils les laissent donc repartir :

Ça valait bien la Peene ! Moines

Les miliciens maintenant alliés aux Suédois contrôlent les passants sur le pont qui mène au faubourg :

Ça valait bien la Peene ! Pont

Les Suédois et Ecossais sortent du faubourg pour approcher du fort…

Ça valait bien la Peene ! Faubourg7

Au pied du fort, les piquiers impériaux font face aux cavaliers suédois :

Ça valait bien la Peene ! Piquiers2

Les Ecossais montent à l'assaut du bastion. Mais avec une seule échelle trouvée dans le village, ils ne peuvent monter qu'un par un ; et en haut, un sergent impérial bloque le passage et les reçoit à coups de pistolet :

Ça valait bien la Peene ! Bastion

Ça valait bien la Peene ! Bastion1

Voyant la situation s'éterniser, Angus mac Laren décide de monter lui-même à l'assaut ! alors que le sergent impérial recharge son pistolet, l'Ecossais abat avec le sien un arquebusier qui tente de lui barrer le passage ! cela lui permet de prendre pied dans le bastion :

Ça valait bien la Peene ! Bastion2



Dernière édition par Patrice le Mer 26 Fév 2014 - 22:26, édité 3 fois


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4Ça valait bien la Peene ! Empty Re: Ça valait bien la Peene ! Mer 26 Fév 2014 - 22:09

Patrice

Patrice
Admin

D'autres Ecossais peuvent alors monter à leur tour. Peu entraînés au combat en mêlée, les artilleurs impériaux ne font pas le poids. Le sergent se retrouve seul et finit par succomber…

Ça valait bien la Peene ! Bastion3

Ça valait bien la Peene ! Bastion4

Les Ecossais tiennent enfin le bastion :

Ça valait bien la Peene ! Bastion5

Au-dehors, les derniers piquiers impériaux, encerclés et dispersés, sont éliminés au tir (à droite) et en mêlée (à gauche) :

Ça valait bien la Peene ! Piquiers3

Pendant ce temps, l'escarmouche s'est aussi prolongée longtemps près des fermes, où les Finnois ont aussi eu à faire à une bande de pillards. Finalement, sous le porche de la chapelle, un dernier soldat catholique résiste encore aux Suédo-finnois encouragés par la femme du pasteur :

Ça valait bien la Peene ! Chapelle2

Alvar Marimekko et un cavalier suédois ont rattrapé le lieutenant Flammekueche à l'intérieur du fort. Blessé une première fois, puis une deuxième, l'officier impérial va tomber à terre ce qui causera la reddition des derniers artilleurs catholiques :

Ça valait bien la Peene ! Capture

Plus tard, soigné de ses blessures, Johann Flammekueche comprend que le Saint-Empire ne lui pardonnera jamais sa défaite : il n'a d'autre choix que de changer de camp. Les Ecossais sont alors heureux de lui enseigner amicalement les préceptes de la religion réformée :

Ça valait bien la Peene ! Conversion

Et voici les joyeux protagonistes :

Ça valait bien la Peene ! Argaderien17e

De gauche à droite : Ehouarn « Angus mac Laren » ; Patrice « Johann Flammekueche » ; Eric, scénariste et animateur PNJ ; Malo « Alvar Marimekko ».
(photos : M. B.)


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5Ça valait bien la Peene ! Empty Re: Ça valait bien la Peene ! Jeu 13 Mar 2014 - 0:21

Eric de Gleievec

Eric de Gleievec

Merci Patrice pour ce compte-rendu fidèle. A ajouter, quelques détails et anecdotes dont les photos ne rendent pas forcément compte :

- Les villageois ont quasiment tous réussi à s'enfuir vers la ville, ou à se planquer dans les broussailles et dans leurs maisons, sans être trop inquiétés et sans subir d'exactions ; à une exception près, dont nous reparlerons plus loin ; ha oui, bien sûr les péripatéticiennes, loin de s'enfuir, ont commencé de bonne heure à faire leur auto-promotion auprès de cette nouvelle clientèle suédo-écossaise qui leur tombait du ciel !
A noter également, l'ancêtre du village, qui voyant tous ces beaux hommes blonds investir sa ferme, a cru retrouver sa prime jeunesse ; sourde comme un pot en plus, elle a donné un peu de fil à retordre aux dragons de Malo... peine perdue, ils sont repartis sans la soulager de ses années d'attente.

- Si les Impériaux avaient eu les yeux en face des trous ce jour-là, ils auraient peut-être remarqué un peu plus rapidement le linge bleu accroché au clocher, signal pour les Suédois, et ils auraient sans doute pu intercepter la femme du pasteur alors qu'elle descendait dudit clocher. Cela aurait pu leur faire un otage utile pour la suite des évènements... Tant pis.

- Tôt vers le début de la partie, un des cavaliers impériaux, ayant reçu ses ordres du Lieutenant Johann Flamekueche, a quitté le terrain en rentrant en ville, puis il est sorti par le sud pour prévenir les Impériaux. Il arrivera hélas trop tard, après la prise de la ville par les Suédois, et n'aura au final réussi qu'à gâcher la noce de Mlle von Schallenberg. Misère.

- Dans le faubourg, à l'auberge, se trouvait une espèce de musicien itinérant qu'on aperçoit sur certaines photos. Cet homme, agitateur pro-évangéliste (qui a peut-être contribué au rapide changement de camp de la milice), a été rapatrié vers le camp suédois.

- Alors que les Finnois quittaient le village pour se diriger vers le fort, une bande de pillards/déserteurs, accompagnés par un prêtre armé, est effectivement sortie des bois. Ne sachant trop qui ces gens pouvaient bien être, les dragons sont donc revenus sur leurs pas, et ont perdu un temps précieux.
Les pillards quant à eux, se voyant dérangés dans leur besogne, ont dû se contenter de voler une vache, après avoir perdu deux hommes tués par les dragons. Un paysan qu'ils avaient tenté d'emmener avec eux, et qui traînait sa seconde vache, a réussir à s'enfuir en sauvant sa bête ; mais il a eu chaud aux plumes !

- Deux paysans de confession catholique, se sont alliés aux soldats impériaux pour tenter d'empêcher la prise de Demmin par les Suédois. Mal leur en a pris, car tous deux ont fait partie des victimes.

- Le colporteur à la charrette, arrêté par la milice sur le pont alors qu'il tentait de quitter la ville en direction du camp suédois (v. photo ci-dessus), transportait dans ses affaires de bien étranges appareils et des livres très suspects .
En fait ce jeune homme était un élève du grand savant Otto von Guericke ; il avait réussi à quitter la ville de Magdeburg, assiégée par les troupes de la Ligue, et dans laquelle son maître était toujours enfermé. Il désire aller rendre compte au camp suédois de la situation dans la ville assiégée, en espérant qu'il saura infléchir le Roi de Suède afin qu'il vole à son secours.

- Les Suédois ont quand même eu de lourdes pertes, entre autres l'officier et le porte-enseigne de leur cavalerie.

- Vers la fin de la partie, trois éclaireurs croates (du camp impérial) sont apparus, et ont voulu savoir à quoi correspondait ce chahut qu'ils entendaient. Ils ont tenté de questionner la milice qui gardait toujours le pont... et qui leur a répondu par une arquebusade, tuant l'un des Croates.
Les deux autres se sont enfuis pour prévenir le reste de leur troupe (placée hors de la table), mais il leur a fallu "un certain temps" pour ce faire, ce qui a permis aux suédo-écossais d'achever la prise de la ville.

- Joli geste des artilleurs impériaux survivants qui, voyant la cause perdue, ont arraché le drapeau impérial de leur bastion en signe de reddition.

Voilà, il me semble que je n'ai rien oublié !


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6Ça valait bien la Peene ! Empty Re: Ça valait bien la Peene ! Jeu 13 Mar 2014 - 0:30

Eric de Gleievec

Eric de Gleievec

Ha oui, l'un des tous premiers villageois à s'enfuir vers la ville, a été le nouveau curé (catholique) du village, mis en place par les Impériaux depuis deux ans. Le soir, lorsque la prise de la ville fut parachevée, l'homme est resté introuvable. Certains villageois ont affirmé l'avoir vu partir vers le sud (c'est à dire vers le camp impérial), seul à travers la campagne.

Qu'avait-il donc à cacher pour être si pressé ? Vous le saurez en suivant notre prochain épisode :

Ça valait bien la Peene ! Mon_cu10

Bientôt sur vos tables de jeu !!!

Les initiés n'auront pas manqué de reconnaître le grandiose nanar dont l'affiche a servi de base à cette opération publicitaire.


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7Ça valait bien la Peene ! Empty Re: Ça valait bien la Peene ! Jeu 13 Mar 2014 - 11:56

Patrice

Patrice
Admin

Eric de Gleievec a écrit:Si les Impériaux avaient eu les yeux en face des trous ce jour-là, ils auraient peut-être remarqué un peu plus rapidement le linge bleu accroché au clocher, signal pour les Suédois, et ils auraient sans doute pu intercepter la femme du pasteur alors qu'elle descendait dudit clocher. Cela aurait pu leur faire un otage utile pour la suite des évènements...
Oui il y en a plusieurs qui ont raté leur « jet sous la classe » pour voir le dit chiffon bleu ! Finalement c'est Johann Flammekueche lui-même qui l'a vu et qui a envoyé deux arquebusiers l'enlever. J'ai hésité à arrêter la femme du pasteur à ce moment-là, mais il y avait un autre suspect dans la chapelle, je me suis dit qu'on verrait plus tard ; ça a toutefois permis à mes deux tireurs de se retrancher un moment dans la chapelle.

Eric de Gleievec a écrit:Joli geste des artilleurs impériaux survivants qui, voyant la cause perdue, ont arraché le drapeau impérial de leur bastion en signe de reddition.
...Alors que les Ecossais qui avaient pris l'autre bastion avaient oublié d'en faire autant !  Rolling Eyes 

Eric de Gleievec a écrit:Vous le saurez en suivant notre prochain épisode
 Ça valait bien la Peene ! 207670 
...Et il paraît qu'un nommé Otto Flammekueche, un frère de Johann, est fermement décidé à relever l'honneur catholique de la famille...


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8Ça valait bien la Peene ! Empty Re: Ça valait bien la Peene ! Jeu 25 Sep 2014 - 23:36

Eric de Gleievec

Eric de Gleievec

ERRATUM

J'apporte une petite correction, importante puisqu'historique.

Dans l'introduction, j'avais écrit :
"Le commandant de garnison de la ville, le capitaine Kapfelmann, est parti à la noce de la fille du Colonel von Schallenberg, à Malchin. "

Or on peut lire dans "L'histoire de la Guerre de Trente Ans", par Schiller :
"Mais déjà la première de ces villes (Demmin), fort mal défendue par le Duc Savely, s'était rendue..."

Ainsi donc, le supérieur de Johan Flamekueche, parti festoyer à Malchin, était bel et bien le Duc Savely ; le capitaine Kapfelmann ne devait être qu'un de ses subordonnés.

Nota : Le capitaine Kapfelmann était un personnage fictif, que j'avais créé avant d'avoir lu l'ouvrage de Schiller ; tant qu'à faire, si je peux placer le maximum de faits et personnages historiques dans ma campagne, je ne m'en prive pas ; tant que ça ne bride pas le jeu.


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9Ça valait bien la Peene ! Empty Re: Ça valait bien la Peene ! Ven 26 Sep 2014 - 11:38

Patrice

Patrice
Admin

Donc deux incompétents (Savely et Kapfelman) directement responsables de la chute de la ville malgré les efforts remarquables du jeune Flammekueche ! Neutral


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